C’est la même frustration qu’un étudiant qui s’est préparé toute l’année pour performer le jour de l’examen qui le jour J se retrouve coincé dans le tunnel du métro à cause d’une grève ou d’un incident.

Gérer les impayés, ça touche à la dimension psychologique de la relation avec le client. On se trouve dans une situation de rupture : le client, on l’a séduit on a maintenu au mieux sa satisfaction pour le fidéliser, on lui a promis d’être à l’écoute… et puis d’un coup, on doit changer de posture : on remet en doute sa volonté d’honorer le contrat, on va devoir mettre de la distance, « faire le méchant ». C’est contre-nature.

Il va falloir comprendre pourquoi votre client ne vous paye pas et adopter le bon comportement.

C’est tout un plan d’action à dérouler. Et vous avez alors un nouvel objectif : Ce n’est plus celui de produire et de livrer, c’est celui de réduire les délais de règlement. La question qui se pose c’est qui va ma- dérouler ce plan d’action. Une première phase peut être orchestrée en interne, en s’appuyant sur la relation commerciale. Mais très vite il faudra passer la main, pour ne pas « polluer » cette relation commerciale et faire perdre du temps à une organisation dédiée au développement et à la production.

Cette activité prend du temps : il faut écrire, appeler, trouver le bon interlocuteur, ne pas se laisser engluer par des explications, ne pas céder au chantage de la dimension commerciale de la relation, et surtout, bien juger de la situation. Car les mesures à prendre doivent intégrer la préservation de votre capital client.

Il faut être armé pour ça, c’est un métier, une activité à part entière. Au même titre que pour le commerce ou la production.

Le poids des impayés peut s’expliquer bien entendu par les difficultés économiques de nos entreprises mais aussi par le fait que c’est le sujet le plus mal traité : dans notre système où la croissance est le point de fixation des dirigeants, on valorise les ventes, le chiffre d’affaires. Même lorsque les entreprises s’organisent autour de ce qu’on appelle la gestion du poste client, il est souvent nécessaire d’externaliser tout ou partie de processus de recouvrement au risque de laisser stagner des factures impayées et n’avoir plus d’autre solution que de les passer en perte.

Notre cabinet concentre les compétences spécifiques nécessaires pour maximiser le taux de recouvrement : un outil technique à la pointe, un personnel formé « qui ne fait que ça » : des juristes qui mettent un cadre aux argument employé est des gestionnaires qui déroule un processus éprouvé avec une grande capacité à écouter, comprendre et négocier. Mais ce n’est pas tout : nous travaillons en parfaite continuité avec nos clients. Nous échangeons en temps réel, nous partageons les mêmes sources d’information

Et puis, enfin, un atout majeur pour les entreprises, après avoir organisé un premier niveau de relance est de laisser le cabinet prendre la main : VCD Recouvrement représente ses clients mais reste en dehors de la relation commercial, tout en centrant la discussion autours de faits concrets et rationnels.

Externaliser les impayés auprès de VCD ça peut être par exemple diviser par 4 les impayés. Et comme nous ne sommes payés qu’au résultat, nos clients n’ont rien à perdre.

Nous confier vos impayés c’est libérer votre trésorerie.